11h: Premier réveil dans son nouvel appartement pour Mike. Et oui, Mike venait de trouver un coloc'. Il ne l'avait pas encore vu mais bon. Dans sa chambre, encore aucun carton n'était rangé. Mais il n'allait pas pour autant les ranger aujourd'hui. Il voulait sortir, prendre l'air quoi. Mike était arrivé il y a deux jours de Los Angeles. 6h d'avion, trop pour lui qui n'aimait pas vraiment les voyages en avion. Pourquoi ? Parce qu'il avait été très choqué par le 11 septembre 2001 et il se dit que ça peut arriver à tout le monde. Donc maintenant, il a une peur bleu des avions. Mais bon, là n'était pas le problème, il était maintenant à New-York. Il se leva pour aller prendre une bonne douche bien chaude. Tous les matins il allait en prendre une donc autant bien profité de la première fois. Mike resta donc l'eau couler pendant une bonne vingtaine de minutes. Ensuite, il parti à la boulangerie du coin pour se prendre du pain et un petit pain au chocolat. Il y restait un fond d'une bouteille de jus d'orange dans le frigidaire. Parfait ! Donc après se petit-déjeuner simple, il parti se changer. Et oui, il n'était parti à la boulangerie en s'habillant vite fait. Mais comme il allait sans doute aller au Park, Central Park comme il s'appelle à New-York, il fallait bien qu'il s'habille un peu plus classe. Il prit donc dans un de ses cartons un jean assez foncé et dans un autre carton un polo moulant. Avant de partir il prit une veste en cuir et ses chaussures, basket assez classe.
12h30: Mike avait une petite faim et était en plein New-York. Ca commençait à grouiller de monde : Les actifs New-Yorkais prenaient leur pause sûrement. Lui prit un sandwich et une cannette chez un marchand et parti ensuite à Central Park en bus. Cinq minutes après il voyait les premiers arbres du bus. Mais le temps qu'il arrive à l'arrêt cinq bonne autre minutes s'étaient passés. La circulation New-Yorkaise battait son plein. Il descendit du bus et commença sa petite marche dans ce parc, très beau et très grand. La verdeur des arbres étaient vraiment tranquilisant. Sans le monde qui parlait et qui jouait, cet endroit devait être vraiment calme et reposant. Un panier de basket, un ballon et c'est le bonheur. Après une bonne dizaine de minutes, il s'assit dans l'herbe, regardant les gens courirent et des jeunes jouaient au foot sur l'herbe d'en face.